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ROUEN CONFIE AUX ENTREPRISES LA PRÉVENTION DES RISQUES INDUSTRIELS !

Mandater une association d’industriels

(TotalEnergies, BASF, Arkéma, Sanofi, Bouygues, Safran, Solvay…)

pour étudier les attentes de la population et former les élu(e)s est une provocation qui passe mal dans les rangs des  associations de défense des riverains.

Lire l’article de Jade Lindgaard – Médiapart – 24092022

……Sites SEVESO !!!

LA COORDINATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS RIVERAINES DES SITES SEVESO

MARQUE LES COMMÉMORATIONS DES ACCIDENTS MAJEURS

21 SEPTEMBRE 2001 – AZF

26 SEPTEMBRE 2019 – LUBRIZOL

voir la VIDEO –

Si vous souhaitez réagir à cette vidéo, adressez votre message à: coordination.nat.seveso@gmail.com

N’hésitez pas à diffuser cette information autour de vous.

21 SEPTEMBRE 2001 – 10 h 17

21 SEPTEMBRE 2001 – 10 h 17

UNE ÉNORME EXPLOSION SECOUE LA VILLE DE TOULOUSE,  provoquant la mort de 31 personnes, des blessures à des milliers d’habitants, de multiples traumatismes psychologiques.

Association Plus Jamais ça ni ici ni ailleurs Croix de Pierre Toulouse 21 septembre 2021 20ème anniversaire de la catastrophe de l’usine AZF

 L’association PJC Nina, constituée au lendemain de l’explosion du 21 septembre 2001, a lutté et lutte depuis 2012 avec la coordination des associations riveraines des sites SEVESO, pour que les risques industriels soient réellement pris en compte dans les usines qui mettent en œuvre des process dangereux.

 Au delà de l’indispensable hommage à la mémoire des victimes de cette catastrophe, cette commémoration doit aussi nous rappeler tout ce que nous avons appris durant 20 années de luttes sur la gestion du risque industriel.


AZF/TOTAL, RESPONSABLE ET COUPABLE

AZF/TOTAL, RESPONSABLE ET COUPABLE

Histoires d’un combat collectif
Rémy Jean et Philippe Saunier (coord.)

L’explosion de l’usine AZF à Toulouse, le 21 septembre 2001, a été l’accident industriel le plus dramatique depuis l’après-guerre en France, faisant 31 morts
et 22 000 blessés. Ce livre a été écrit à la suite du jugement du 31 octobre 2017 de la cour d’appel de Paris qui a condamné l’entreprise et son directeur pour manquements à leurs
obligations de sécurité, après seize ans de procédures et de manoeuvres. Il revient sur les causes de l’explosion, expose la complète responsabilité de l’industriel et témoigne du long combat des victimes pour que cette responsabilité soit reconnue. Quatorze acteurs de ce combat – militants associatifs, syndicalistes, avocats, représentants du personnel,
chercheurs et experts en santé et sécurité au travail  prennent ici la parole. Ils donnent à voir toutes les facettes de la stratégie du groupe Total pour masquer ce qu’il savait, échapper aux sanctions et continuer à faire primer ses intérêts économiques sur les impératifs de sécurité. Ils mettent également en lumière le laisser-faire injustifiable des institutions publiques envers cette multinationale.

*Table des matières
Une explosion dévastatrice pour les hommes et l’environnement
La vie dans l’usine, avant et après
L’instrumentalisation des salariés
L’enquête du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) face à une opacité bien organisée
Des causes immédiates aux causes fondamentales
L’incompatibilité entre les produits : un risque négligé puis occulté
Fausses pistes et vraie intox
La plainte pour entrave à la justice, un parcours du combattant
L’action de l’association des sinistrés du 21 septembre
La prise en compte des enjeux par les organisations syndicales
Les parties civiles et leurs avocats dans la procédure pénale
Les manquements du contrôle de l’État
Les évolutions politiques et réglementaires depuis l’accident
Reconnaître les crimes industriels, un difficile apprentissage
Historique de l’usine et chronologie des faits.

*Les auteur·es
Annie Thébaud-Mony : Directrice de recherches honoraire à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).
Hubert Dandine : Élu du personnel dans l’usine voisine, la SNPE.
Armand Cassé : Secrétaire du comité d’établissement.
Christine Poupin : Secrétaire du CHSCT de l’usine Grande Paroisse (Rouen).
Serge Baggi : Rapporteur de la commission d’enquête du CHSCT.
Rémy Jean : Expert en santé et sécurité au travail.
Philippe Saunier : Syndicaliste chez Total.
Gérard Ratier : Président de l’Association des familles endeuillées.
Pauline Miranda : Présidente de l’Association des sinistrés du 21 septembre
Pascal Tailleux : Membre de la fédération CGT des industries chimiques.
Stella Bisseuil et Jean-Paul Teissonnière : Avocats de parties civiles.
Alain Marcom : Sinistré, membre de l’Association « Plus jamais ça ».
Marcel Croquefer : Membre du Conseil supérieur des installations classées.

Cet ouvrage sera mis en vente publique au prix de 12 euros à compter du mois de septembre 2018.
Pour l’heure, il est proposé en pré-achat au prix de 7 euros. Cette offre est valable jusqu’au 15 septembre 2018.
Commandez-le dès à présent en vous adressant à l’association de défense des riverains de votre secteur ou auprès de la Coordination Nationale des Associations Riveraines des Sites Seveso (michel.le-cler@orange.fr)

AZF TOTAL RESPONSABLE et COUPABLE

PROCÈS AZF: un ex chercheur poitevin en première ligne.

PROCES AZF: un ex chercheur poitevin en première ligne.

Ancien directeur de recherche au laboratoire de combustion et de détonique (LCD) du CNRS de Poitiers, Henri- Noël PRESLES a été cité comme témoin dans les procès AZF .

Le jugement du 31 octobre le satisfait.

en savoir plus:

http://france3-regions.francetvinfo.fr/societe/justice/proces-azf?r=occitanie

https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/proces-azf-un-ex-chercheur-poitevin-en-premiere-ligne

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/vienne/poitiers/azf-expert-poitevin-temoigne-ses-travaux-piste-chimique-explosion-toulouse-1361909.html

PROCÈS AZF: LA JUSTICE CONFIRME L’ACCIDENT CHIMIQUE.

PROCÈS AZF: LA JUSTICE CONFIRME L’ACCIDENT CHIMIQUE.

Le 31 octobre, les responsables de la société Grande Paroisse, jugés pour la catastrophe AZF à Toulouse du 21 septembre 2001 ont perdu de leur superbe.
Après 16 années de procès durant lesquelles TOTAL a déployé des moyens juridiques, techniques colossaux pour ne pas être inquiété, la justice a condamné Grande Paroisse, filiale de TOTAL à l’amende maximale de 225 000 € et son directeur à quinze mois de prison avec sursis et 10 000 € d’amende. Un communiqué adressé à plusieurs médias nationaux, publié au Journal officiel, rendra publiques les décisions arrêtées.
La confirmation de l’accident chimique oblige à tirer les enseignements de ce procès afin qu’aucun accident majeur ne se reproduise et que la réduction des risques à la source devienne une règle intangible.

A Paris, le 31 octobre 2017.

Lire communiqué Plus jamais ça, ni ici ni ailleurs.

Association Plus Jamais Ca Ni Ici Ni Ailleurs Croix de Pierre

31 octobre 2017: JUGEMENT DU PROCÈS AZF.

31 octobre 2017:

JUGEMENT DU PROCÈS AZF.

PAS D’IMPUNITÉ

POUR LE CRIME INDUSTRIEL.

Communiqué de presse 31 octobre jugement du procès AZF